18/10/2008
La Grande Gaufre (13)
Tableau 13 : "Cours, Forrest Gump, cours"
« Cookie : Anciennement petit gâteau sucré, qu'on acceptait avec plaisir. Aujourd'hui : petit fichier informatique drôlement salé, qu'il faut refuser avec véhémence. », Luc Fayard
Comme si la vie, même chez les concepteurs du futur, ne voulait plus se voir comme un long fleuve tranquille... Il fallait, en plus, courir pour exister.
Alvin Toffler dans son livre « Les nouveaux pouvoirs » (Powershift) décrivait, en 1990, le 21ème siècle comme celui de la violence, de la richesse, du savoir dans un monde en révolution. Le pouvoir n'est en lui-même ni bon, ni mauvais, ajoutait-il, tout en influençant sur nos comportements les plus intimes en faisant rêver sur nos futurs achats.
Avait-il imaginé l'arrivée à sa véritable importance d'autres acteurs, d'autres "gesticulateurs" de la partie sur Internet et ailleurs ? La fin des empires qu'il se targuait de décrire au niveau des États, s'est transformé en empires de multinationales qui se jouent des États en transférant leurs pouvoirs en jonglant avec les frontières. Le nerf de la guerre, l'argent est transféré là où il rapporte le plus et cela sans en chercher les finalités là où elles devraient être, c'est-à-dire dans le progrès global de l'humanité. Guillaume Dasquié en donnait une nouvelle version.
"Soft", question de point de vue : D'abord, il y a eu les "freewares", les gratuiciels, à télécharger, connus par le bouche à oreille, disponibles derrière des hyperliens suite à une recherche ou décrits sur les pages des magazines spécialisés. Étape suivante, voici les "grands des grands" qui, tout aussi gratuitement, produisent des versions parallèles, seulement un peu plus allégées des softwares payants. "On line", à la discrétion de tous et sans bourse déliée, les programmes des "Offices", près à l'emploi, ont renversé l'ordre établi. Le calcul et le stockage des données se déroulant sur le serveur lui-même, c'est-à-dire sans stockage sur son propre PC. La publicité des autres a déjà payé pour vous. La confidentialité n'est peut-être plus à bord, mais son effacement fait partie du prix. Par son ignorance volontaire du danger, le consommateur a seulement déplacé son problème d'accès à l'information. On va pouvoir écrire, calculer, visionner ses images et vidéos, converser et même voir le monde sous toute ses coutures. Des calculs en pagailles, voilà la machine à calculer d'un autre temps toute auréolée de fonctions du plus bel aloi qui se réfugie désormais à proximité du texte et du verbe. Toute l'infrastructure sous les doigts, pour s'élancer avec un maximum d'efficacité à en faire perdre les couleurs de ses caractères bien policés. Une pensée orientée et citoyenne dans le juke box? Les blogs et les sites, dits citoyens, sont là.
Affublé de la sorte, sous le monitoring des magazines d'informatique, le citoyen lambda se croit de plus en plus dans la peau d'un "informaticien". Conceptualiser une application au niveau fonctionnel semble à sa portée. C'est vite dit et cela s'appelle même "Basic". Le passage à la réalisation l'est pourtant beaucoup moins et nécessite bien plus de temps pour sa conception et sa réalisation.
C'est vrai, 80% des utilisateurs particuliers, n'en ont cure de tous les gadgets qui décorent les logiciels du commerce destiné à un large public. Pour être réaliste, 20% des fonctionnalités présentes sont, il est vrai, utilisées dans ce public. Les logiciels avec licences du commerce se sont vus complétés, dans la démesure, à l'usage d'une clientèle très ou trop spécialisée. Pour justifier les prix, les stabiliser, il fallait montrer qu'on restait inventif. Heureusement, la convivialité ne s'y perdait pas au change, en général, même si elle se perdait dans des remodelages incessants.
L'ordinateur, tout le monde devait en avoir un. On ne savait pas toujours ce qu'on allait en faire au départ mais il fallait en acheter pour rester "in". Tout concourait pour passer à l'acte. C'était aussi le message qui provient de toutes les sources autorisées. Les gouvernements s'étaient arrangés avec les fournisseurs pour permettre aux prix d'être plus compétitifs, les fournisseurs de services bancaires, postaux, les fournisseurs de hardware et de software, bien entendu, aussi.
Si les jeunes étaient mordus après avoir coudoyé cet outil scolaire essentiel aujourd'hui, il n'en est pas de même avec les seniors, les pensionnés, qui voulaient aussi entrer dans le jeu. Ce fut plus qu'une question de générations à sauter ou à modéliser.
Ces nouveaux utilisateurs d'un autre âge se sont vus proposer des cours très orientés informatiques. En faire des "hobby" était évidemment le but avoué pour assurer une retraite intellectuelle.
Mal leur en a pris très souvent, malheureusement. Les ordinateurs, une fois achetés, par des non professionnels bien innocents de l'approche de l'informatique se sont bien vite retrouvés non utilisés à cause d'une petite panne de hardware, de software ou de "perso-ware". Le fiston est bien venu une fois ou deux à la rescousse, puis les choses se sont tassées... au fond du grenier. Les experts se paient et sont souvent pris en d'autres lieux très décalés dans le temps et l'espace.
Pour le 3ème âge, pour la "nouvelle vie", des écoles, des cours donnés avec matériel et connections sur Internet, ont vu le jour dans la précipitation. Le succès a été aussi mitigé de ce côté. Les enseignants, bénévoles ou non, proviennent du "milieu", parfois eux-mêmes mis sur la touche par l'âge. C'est à dire qu'ils ont eu des outils performants totalement dirigés par le côté fonctionnel et vers les tâches administratives. Le degré de connaissance des élèves était le plus souvent bien plus primaire. Le raffinement d'un clavier d'ordinateur, sa souris ne sont également d'une utilisation naturelle que pour les habitués. Encore une fois, on aime bien que ce que l'on connaît bien. Vieux principe toujours d'actualité, surtout en informatique. Les très jeunes se sont très vite et si bien adapté à tous ces maniements que l'on voudrait adopter la même approche. Ce qu'on oublie c'est qu'un jeune ne commence pas son approche du PC avec un tableur ou un éditeur de texte. Le jeu est le sésame le plus adapté pour motiver au mieux n'importe quel utilisateur effarouché. On a moins peur quand ce n'est que du jeu. Alors, vivement, le "Tic Tac Toe" ou les briques qu'il faut détruire, et cela même pour l'arrière garde.
Pour 2008, on peut comptabiliser 4,5 millions de consultations d'internet par jour de seniors entre 60 et 64 ans. Ce qui fait une augmentation de 63% alors que tous âges confondus, l'augmentation se limitait à 18,4%. Les sites d'information et qui tournaient autour de la crise financière avaient la vedette. Le web fête ses 20 ans.
Des gags par l'intermédiaire de coups de téléphone au service "helpdesk" ont fait planer, dans l'incompréhension la plus totale, des interlocuteurs qui n'étaient manifestement pas sur la même longueur d'onde. La touche "Any" qu'il fallait presser s'est recherchée désespéreraient plus d'une fois. L'anglais restera pour longtemps, la langue de l'approximation pour les non-pratiquants. La prise électrique ou la connexion avec les réseaux ont-elles été bien fixées ? Vieille question primaire à toutes explications.
Les magazines de vulgarisation en informatique se sont multipliés. Le fameux SVM de départ s'est vu concurrencé par une flopée de mensuels et d'hebdomadaires à la recherche du meilleur scoop pour ouvrir encore plus la fenêtre de l'informatique logicielle et matérielle et à encore plus de complexités, aussi.
En septembre 1951, était sorti le premier numéro de "Computer and Automation" sous la plume de Edmund Berkeley. Il ne traitait que de la manière de vendre des kits pour monter des "cerveaux électroniques". En juillet 1974, David Ahl lançait "Creative Computing" qui parlait de programmes écrits en Basic alors qu'il avait le premier livre sur l'informatique tous publics "Basic Computer Games". Pour le public, on restait avec l'idée qu'un ordinateur permettait de jouer.
Il faut bien le dire, les documentations annexées avec les biens achetés quand elles sont présentes, se montrent d'une exhaustivité étouffante et décourageante pour l'utilisateur qui ne veut qu'être utilisateur simple sans être simpliste. Rien de vraiment intuitif et bien loin du « Plug and Play » vendu à corps et à cris dans l'approche de l'informatique. L'apprentissage risquait même de se mordre la queue. Il était parfois dit, en effet, qu'il fallait aller chercher plus d'informations sur internet, alors, que l'opération de base était justement l'étape de l'installation sur la toile qui était en jeu.
Destinées aux « freewares », les documentations n'étaient pas légions ou plus toujours à jour avec les versions successives qui voyaient le jour depuis leur première écriture. Dans la plupart des cas, quand elles subsistaient, elles avaient été traduites et arrivaient dans la langue locale bien peu compréhensibles pour l'anglophile d'occasion. Les « drivers », les « firmwares » devaient être maintenus au gré et au top des versions, était-il dit dans la documentation. Les softwares évoluaient en parallèle mais pas à la même cadence. Tiendraient-ils la route, ensemble ? Problèmes dignes de la quadrature du cercle. Le plus souvent, les documentations étaient larguées, devenues obsolètes. Donc, pas d'excès de précisions dans la documentation qui ne serait pas "on-line". Trop chères. Donc, désolé, ce serait s'habituer à lire à l'écran sans trop rechigner avec nostalgie ou ce sera quitter le bateau.
"Hard", question de rendement : Au niveau management, les erreurs opposaient les reproches à cette fuite en avant toujours à la recherche d'un toujours "meilleur", d'un "plus" sans plus penser au "mieux". Rentabilité habituelle qui atterrissait dans le cours terme aux desiderata des investisseurs en Bourse. Chercher le meilleur prix performance était valable si sa chute n'entraînait pas la perte de vitesse de tous les acteurs dans son sillage. Pour arriver à ces fins, il y avait les incitants.
Les salaires de la vente, la gérance démesurés, les budgets de publicité, massifs, les dépenses de prestige pour garder la seule image de marque n'étaient que le côté face.
Pour ne plus trop effrayer les âmes sensibles, le stress pour rester en ligne, la presse qui suit l'évolution ou la précédait en divulguant les secrets, la surestimation des budgets suivie d'une sous-estimation, étaient les côtés piles. Pléthores de concurrents qui oubliaient le coût de la réalisation pour simplement casser le prix de vente et casser la chaîne de la motivation. Tout cela avait représenté les marches de la gloire et de la décadence.
Dans le domaine des salaires, la doctrine "Pay for performance" en arrivait à être contreproductive. Source de tension, ce salaire payé en fonction du mérite devenait une pomme de discorde. L'évaluation, qui pouvait la faire et sous quel principe pour établir un indice valable de satisfaction ? Le progrès, était-ce plaire au chef direct, pour faire progresser celui-ci sur la même vague ou directement lié à l'objectif principal dans la bonne gestion de la société ? Le chef direct, l'intermédiaire dans la chaîne de décision, voulait faire progresser son poulain et se voyait désavoué par celui-ci dans le cas où cela n'aboutissait pas ou quand l'augmentation était désynchronisée avec l'action elle-même. Cette évaluation arbitraire poussait à l'individualisme pour faire du "chiffre" au détriment de la qualité surtout limité à l'échelle personnelle en oubliant au passage l'esprit d'équipe. Injustice pour les non primés, démotivation généralisée pour le gros des troupes non primées.
Conscientiser, responsabiliser, motiver étaient les maîtres mots qui ne s'étaient pas encore concrétiser dans les faits mais qui se retrouvent déjà, en partie, dans un Système Toyota qui se voulait efficace. Par rapport à ce système, des différences devaient exister, pour garder de nouvelles règles proportionnelles au gain globale.
Du côté des bilans de l'industrie informatique, il fallait bien avouer qu'il y a eu quelques arnaques notoires.
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Le prix des encres pour les imprimantes qui dépassaient allègrement le prix de l'imprimante elle-même en oubliant le côté écologique.
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Le PC vendu avec l'Operating System entraînant les ventes forcées
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Les copies de ses propres achats de software pour raison de sauvetage et qui se voyaient ponctionnés une nouvelle fois, lors de l'achat des DVD vierges.
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Le prix des « upgrades » qui passaient vite à la totalité du prix d'une nouvelle version de software.
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Les prix de connexion ADSL en hausses continues alors que les vitesses stagnaient pour le particulier.
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Le non durable préconisé pour faire tourner la "machine" à produire.
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Le manque de standards et d'interfaces entre les différentes marques pour fidéliser à outrance.
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Une concurrence camouflée derrière des données de spécifications non comparables aisément entre elles lors d'un achat dans une bataille commerciale.
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Une fausse idée de gratuité sur le Web.
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Des produits achetés, plastifiés qu'il fallait déceler pour tester sans possibilités de remboursement en cas de retour.
Les pionniers : Bill Gates a quitté définitivement ses fonctions exécutives chez Microsoft, ce 27 juin 2008. Trente trois ans à la tête de son entreprise, il a pu faire la pluie et le beau temps du software. Serait-ce le cycle complet de 30 ans, la base de l'informatique et l'ouverture d'une autre ère, tout aussi risquée ? Qui se souvient de cette présentation Apple en 1983 ?
A la suite de son premier programme, un jeu de morpion, il se lançait dans la répartition la mieux adaptée des élèves dans les classes. Harvard ne serait qu'un saut de puce de deux ans. Une politique commerciale agressive faisait le reste pour qu'aujourd'hui 90% des PC tournent sous Windows. Récemment, il n'avait plus la première place de la plus grande fortune personnelle dans le monde, mais 56 milliards estimés restait une place de choix. Philanthrope, il s'était lancé dans une Fondation totalement en dehors de l'informatique. La fin de Windows? Ou le début d'un OS style Google? Il est vrai que le nouveau challenger est Google. Le Nouvel Obs titrait un article "Microsoft dans le piège d'Internet" après son flop dans le rachat de Yahoo. Par retour de manivelle, Google avait redoré son blason dans l'affaire. Microsoft et Yahoo s'associent en finale pour la contrer. Nouvelle alliance avec Nokia. Le 6 octobre 2009, lancement de mobiles Windows phones dans le même but.
Dans le SVM de août 2010, Michel Volle pour Microsoft. Organisation trop rigide. Blocage des innovations qui ne remontent plus la pente hiérarchique. Les projets de la base, vu l'ancienneté des structures en place. Google, dit-il, par contre aurait installé un système d'écoute des employés.
Google veut perfectionner son moteur de recherche et se dope de "Cafféine" en testant une architecture secrète avec Sitaram Iyer et Matt Cutts, en visant l'augmentation de taille, la vitesse et la précision des recherches sur le net.
Née en 1998, la firme Google n'a fait qu'investir dans les nouveautés. 2000: Adwords et moteur de recherche. 2002: Google News. 2004: Gmail. 2005:Internet mobile, Talk. 2006: Picassa, Youtube,Maps Reader. 2007: Street View, Androïd. 2008 : Chrome. 2009: Chrome OS, Wave. 2010: Buzz...
Dire que Google ennuie et gène MicroSoft n'est pas une erreur.
Mars 2011, Microsoft vient de déposer, à la Communauté Européenne, une plainte contre Google pour abus de position dominante. Véritable retour de balancier quand on se rappelle que lors de l'évolution d'Internet Explorer. Brad Smith, vice-président de MS, y voit une "ironie" de l'histoire.
Car, Internet avait remplacé l'informatique dans sa finalité. On parlait souvent de l'un en pensant à l'autre inconsciemment. Qui pensait encore à utiliser l'Informatique dans son salon avec le mini PC parfaitement intégré parmi les autres instruments du multimédia. Tout s'intégrait de force ou par raisons. Déjà en 2004, les fameux spams avaient leurs jours comptés d'après lui dans les deux ans. Ils ne semblent pas avoir perdu en efficacité de gêneurs non patentés. Dans le même temps, Internet Explorer reste dans la ligne de mire européenne.
Microsoft, l'éditeur de logiciel par excellence, va-t-il, à son tour, glisser dans le parallèle du software avec IBM du hardware face aux nouveau challengers « Google », « Facebook » et autres ? Certains pionniers ont d'ailleurs rejoint ceux-ci. Sont-ils prêts à ronger le marché du réel par le marché du virtuel en appuyant, par la « gratuité d'accès », sur l'accélérateur de la publicité de ce qui était payant auparavant, tout en brisant, du même coup, la couche de la production réelle et rémunératrice ? Le virtuel ne va pas sans le réel. Ce n'est pas "blue sky" même dans ce monde.
Le 03 juin 2009, Microsoft lance "Bing," le nouveau moteur de recherche pour contrer Google sur son terrain. La pub en ligne en 2011 devrait approcher les 10 milliards de dollars rien qu'en Europe. "Live Search", prédécesseur de Bing, n'obtenait que 8,2% du marché alors que Google s'élevait à 64%. Cette version sera dans un premier temps, une nouveauté uniquement aux États-Unis. Rien de transcendant. C'est toujours une "machine à trouver" et bien peu un "moteur de décision". GMail est réinventé par les soins de la firme : Google Wave. Cette nouvelle manière de communiquer par emails se base sur le principe de collaboration en ligne. Communiquer par et pour tout le monde pour faire gonfler l'information et le savoir avec elle.
Travailler pour Microsoft s'est se rendre disponible sur une longueur de temps sans partage, dur et gratifiant.
Le monopole de Microsoft n’existe plus qu’en partie. On peut s'en rendre compte par plusieurs voies. L'"Operating System" propriétaire a un peu de plomb dans l'aile. Vista ne décollait toujours pas vraiment. Manque de nouveautés essentielles. Fini de lancer le fameux « Hasta la Vista » des journalistes en mal de titre vite fait en visitant les versions beta. La version définitive a laissé sur sa faim. Nous sommes dans Windows et la « fenêtre » ne s’est pas mise à battre la chamade par le vent de l’incroyable. Il y a bien les portes drapeaux que sont l'interface virtuelle, l'intégration multimédia, une meilleure recherche des fichiers, la sécurité d'internet améliorée.... mais à part cela...
La version suivante, « Windows Se7en », prévue pour 2010 est sortie comme un sauveur des utilisateurs et de son concepteur. Vu le manque d'enthousiasme de Vista, elle semble être avancée à fin 2009. C'est à dire que, crise oblige, le renouveau ne peut plus dépasser les 3 ans, assignée pour son évolution. Le stress va encore augmenter. La version Midori n'est qu'encore qu'un rêve planifié.
Ça y est, ce 22 octobre 2009, Windows Seven était là.. Hasta la vista, Vista... L'échec de cette version est consommé. Trop lourde, trop lente, trop peu compatible... XP est resté plus longtemps que prévu. Au niveau Operating System, XP a gardé 68% des utilisateurs, Vista 22, Linux 5 et Mac Os 5. Remplir les caisses est devenu l'objectif car le bénéfice net de Microsoft avait pour la première fois chuté de 18% en un an, tandis que Google affichait une insolence avec 27% de bénéfices. Cette nouvelle version a couté 32 milliards de dollars en 18 mois. Il s'agit donc de récupérer l'investissement. Dans les rentrées de Microsoft, l'Operating system Windows avec les serveurs représente 50%. Les outils de bureautique 32%, XBox 13,3%.
Tout "esseulé" dans sa tour d'ivoire de Sacramento, ce grand fournisseur de "moteurs ronronnant" s'était vu attaqué de toute part, non seulement, par les concurrents directs qui voulaient grappiller une petite place au soleil, mais aussi par la Commission Européenne qui voyait malice dans leur volonté de fournir le "tout intégré". Les compétiteurs, à juste titre, avançaient une concurrence déloyale pour soutenir l'action concertée. Les sommes énormes des amendes à payer pour contraindre l'ogre à de meilleurs sentiments en détricotant le software si patiemment construit à coups d'heures de travail dans l'urgence créée par des annonces de sortie prématurées et tonitruantes. Alors, on ergote, on s'arme de toute la panoplie d'hommes de loi. Ça casse ou ça passe. Quand on doit mettre la main à la poche, c'est vraiment en dernière extrémité en sachant que le montant n'aura aucun impact futur sur son propre destin. Les utilisateurs n'auront qu'à s'asseoir sur les cloches puisqu'ils ne recevront plus gratuitement certaines fonctionnalités offertes au départ. Alors, le futur, on le voit comme ça: futur selon MS. Ensuite, on s'adapte quitte à marcher sur les plates-bandes d'autres en lançant des Windows Phones à l'assaut de l'iPhone de Apple.
Le portail MSN, bien que poussé le plus souvent comme page d’accueil a du mal à tenir sa place de choix. L’encyclopédie Encarta est mise à mal par la version citoyenne Wikipedia et on ferme l'arrivée en ligne. Le web résonne des gazouillis de Twitter, des microblogs à l’influence grandissante d'un réseau à moitié chemin entre messagerie et blog. Il pourrait même être utilisé dans l'espace.
Softwares propriétaires attaqués par le monde ouvert qui transige le mieux qu’il peut avec la compatibilité des formats de données et du look tout en y ajoutant des fonctionnalités inédites. Les autoroutes de l’information sont devenues en grand ce que les neurones du cerveau font toujours mieux en plus petit.
Paul Allen était resté directeur technique chez MS, mais n'est plus qu'actionnaire aujourd'hui. Il a créé Vulcan Ventures et Vulcan Productions (films). Il est en croisade contre Google, Facebook et Apple comme voleur des brevets de sa société Interval Licensing. Les systèmes d'alertes sont en effet, utilisés par chacun des concurrents.
Le 17 avril 2011, il va publier sa bibliographie sous le titre "Idea Man. A memoir by the Cofondator of Microsoft". L'amitié avec Bill Gates n'a été que de façade le jour où Bill Gates a voulu diminuer sa part dans MS. "Ils étaient en train de déplorer mon récent manque de productivité et discutaient de la manière dont ils pouvaient diluer ma participation dans le capital en émettant des options pour eux-mêmes et pour d'autres actionnaires", écrit-il. Le "ils" était pour Bill Gates et Steve Balmer, en 1982, alors que Paul Allen venait d'apprendre qu'il était atteint de la maladie d'Hodgkin. En 1983, suite à une participation de Balmer jugée anormale, Allen quitte et essaye de vendre ses actions à 10$ alors que Bill Gates lui en offrir 5$. Refus. Grâce à ce refus, sa fortune est estimée, aujourd'hui, à 13 milliards de $, alors que celle de Bill Gates plafonne à 56 milliards de $.
Steve Balmer, the "Monkey boy", ne fait plus vraiment rire personne. Microsoft rame. Il disait haut et fort "Un téléphone à 500 $ et sans clavier, Apple, zéro", il y a 5 ans. L'iPhone se vend par dizaine de millions et distance Windows Phone. MS TV est aux calandes grecques (06/2000-06/2007). Soapbox (09/2006-07/2009). Le Kin, aux couleurs de la marque, a été un désastre financier (05/2010-06/2010). L'alliance avec Nokia a fait plonger ce dernier, de 14%, en Bourse. "Deux dindes ne font pas un aigle", lâchait Google. Windows8 est prévu au mieux pour 2012, alors qu'il est destiné aux tablettes. Balmer n'y a vu qu'un feu de paille. WebOS et Androïd feront office en attendant. Le concurrent de iPhone, Zune (11/2006-03/2011), la tablette Courrier sont aux oubliettes (11/2002-01/2011). Roy Ozzie, l'architecte du Cloud Computing et qui été chargé de donner accès à tous les logiciels du groupe, n'est plus aux commandes. Robbie Bach, le père de XBox, n'aura pas de petits enfants chez MS. Jeff Raikes, l'architecte de la Suit Office a jeté l'éponge. L'alliance avec Yahoo pour contrer Google , c'est Kevin Johnson qui y a perdu son latin, pour faire remonter un peu Bing, mais à quel prix ?
Microsoft s'est transformée en nouvel IBM, une entreprise vieillissante et pas marrante.
Pas facile de se réinventer quand on devient mammouth même avec un trésor de guerre de 56 milliards de dollars. Quant à Bill Gates, trop occupé à sa Fondation, il n'a pas l'envie, actuellement, de jouer les Samaritain ou Steve Job, pour remettre les pendules à l'heure. Microsoft rachète tout ce qu'il ne peut produire. En mai 2011, c'est au tour de Skype, qui n'est pas rentable. Au prix fort de 8,5 milliards de $, représentant dix fois le prix du marché. Microsoft aurait-il ainsi damé le pion à la concurrence avec ce coup de maître? Skype avait 170 millions d'utilisateurs dont 8 millions de payants. Le but de MS est de supporter sa XBox, Outlook et la KINECT avec Lync. En 2005, eBay avait acheté Skype et y avait perdu 1,2 milliards de $. C'est donc, en premier, le jackpot pour eBay et une bouteille de champagne pour Facebook. A qui perd, gagne ?
Microsoft a réinvesti 100 millions de dollars dans Linux pour faire se rapprocher le monde propriétaire de celui de l'"Open Source" pour atteindre une meilleure interopérabilité. Google est devenu son concurrent majeur. Internet Explorer se voit même attaqué sur ses bases. "Google Chrome", le nouveau navigateur, va faire du bruit en jonglant avec les outils intégrés déjà en place et défiant Microsoft. Google aura son Operating System dès 2010. Il sera fait pour inciter à atout faire en ligne. Informatique nuageuse ou nébuleuse ? Une machine avec un processeur de base pourrait être suffisante. Peu de vitesse nécessaire, plus de risque de perdre ses données puisque les backups seraient faits à distance. Une bande passante importante pour assurer la vitesse comme point névralgique. Le software ? Google Apps, pour les professionnels. Google Dico comme dictionnaire, Gmail, Talk pour le tchat, Knol pour documentation. Picasa pour la photo. YouTube pour la vidéo. Blogger pour les blogs. Nous sommes en pleine stratégie du standard minimum qui ne voudrait plus que des utilisateurs connectés.
Les magazines commençaient déjà à comparer les faiblesses et les forces des anciens par rapport aux petits nouveaux. Sera-ce la version Web 3.0? Ultime outil de la publicité, très certainement. Cibler les consommateurs avec les droits de filtrer, modifier et capter par et pour Google. La recherche d'informations tous azimuts dans un nouveau monopole bien plus efficace que celui de son outsider Microsoft. Firefox, logiciel libre, avait déjà attaqué dans l'environnement du Web 2.0. Dix réalités au sujet de ce Web presque obsolète? Les versions libres ne sont pas exemptées de problèmes et d'attaques. Firefox 3.5, annoncé comme une version importante, se retrouve avec un potentiel de piratage, comme l'était Internet Explorer. Vœux pieux de répondre le plus vite aux attaques de la concurrence ? Pieux enfoncés dans les nerfs des utilisateurs.
Steve Balmer a repris complètement les rennes de Microsoft. Aura-t-il le même charisme, le même besoin de recherche d'innovations que son ami de toujours ? Rien n'est moins sûr. "L'après Bill Gates" de Maria Jo Foleg explique en détail que l'avenir n'est pas aussi rose. La suite ici. Une vidéo entre les deux "Steve".
Balmer favorise plus le marketing, la vente que théorie et la technique. L'enthousiasme, avec des résultats financiers même à la bonne hauteur, ne suffit pas. Sa danse de gorille avec son cri de guerre "I love this company" est un peu surfaite. Revitaliser la culture "MS" demande de l'invention et des idées qui font la différence pour la vision du futur. Les "Baby Bills" de 2003 ne sont plus vraiment dans le peloton de tête de la hiérarchie et se retrouvent parfois sur des voies de garage intéressantes mais loin du pouvoir central. Jim Allard, Chris Jones, Stephen Sinofsky, Craig Mundie sont des grands noms au côté des 80.000 Softies anonymes. Ceux-ci bloguent sur des forums et font part de leurs problèmes moraux. La concurrence du jeunisme est constante. 90.000 personnes dans la monde, cela ne se gère pas sans certains abandons de cohésion.
La société vient de s'offrir un comparateur de prix, www.ciao.com, pour rattraper Google. Ce n'est plus 44 milliards de dollars comme pour le coup manqué de Yahoo. Cette fois, "Greenfield Online" s'est évalué à "seulement" 486 millions de dollars. Core business contre business de raison dans un marketing de la peur du lendemain et de l'abandon du client.
Un challenger, pionnier, aussi, on l'oublie souvent, a été Steve Jobs et sa pomme "Apple". "Microsoft n'a aucun goût, aucune idée originale, sans produits et sans culture", osait dire Steve Jobs. En 1985, il était viré par John Sculley . "Vous comptez vendre de l'eau sucrée toute votre vie ou voulez-vous changer le monde avec moi", demandait-il. ll était rappelé d'urgence pour rajeunir la gamme avec son iMac, son iPod, son iPhone et redevenir le PDG en 2000.
Fin 2010, Apple dépassait la capitalisation de Microsoft. Ce qui ne veut pas dire que la guerre est gagnée. On attend le retour en ping-pong.
Octobre 2010, voici le Windows Phone 7.
Entre ces deux pionniers, un conflit de religion qui ferait plus une bible plus qu'une histoire.
Les "challengers" : Les logiciels libres, gratuits et avec sources incorporées disponibles contiennent les mêmes pièces dans le moteur, seulement maquillées pour ne pas les copier. Les fonctionnalités sont parallèles et prennent en charge, sans difficultés apparentes, les données cousues mains en provenance des grands parrains propriétaires.
L'histoire de Ubuntu vaut bien une messe. Lancé en 2004, il avait à l'origine Linux qui était toujours considéré comme un Operating Software très loin du Plug and Play de Microsoft. Mark l'ingénieur Shuttleworth, devenu riche, sentait qu'il devait une dette grâce aux "autres" et vis-à-vis des clients qui l'avaient soutenu. Il vend sa société de sécurité pour 575 millions de dollars en 1999, et se lance dans le système ouvert Linux dont les sources sont disponibles à la modification. Le Linux pour n'importe qui, est son but. Il crée sa fondation en 2004. Lenovo (repreneur du PC d'IBM) l'adopte récemment. Il y a 12 millions d'utilisateurs dans le monde. Amazon, Wikipedia sont des clients. Google l'adopte sous le sobriquet Goobuntu. Depuis, souvent à partir de l'île de Mans, de New-York ou d'Afrique du Sud, il fait fructifier son affaire avec succès.
Google, toute puissante, une nouvelle histoire d'amour de l'information ? Une obsession de faire autrement pour Larry Page et Serge Brin, ses fondateurs, "enfants" gâtés du succès, mais gardant toujours un esprit de jeune baroudeur. Leur moteur de recherche, bricolé également dans un garage et qui mène à une multinationale coté 135 milliards de dollars en Bourse. L’ancêtre du moteur de recherche date de 1990 avec Archie qui n'était alors qu'un localisateur de fichier. En 1994, c'est plus élaboré qu’apparaît Webcrawler. Racheté ensuite par AOL.
On annonce Kosmix, indien, comme moteur recherche. Sera-ce avec ou sans pousse-pousse ? Stephen Wolfram annonce mieux encore : un moteur de recherche qui "calculerait" ses réponses ou "comprendrait" les requêtes plutôt que de remonter des résultats indexés.
Basculer de l'offline, trop personnel, à l'online, plus mesurable de l'extérieur, en permanence. Un téléphone mobile, avec un OS propre, le synapse, l'Android arrive avec la publicité comme vache à lait. Le portail s'est beau, mais trouver ce que l'on cherche, n'importe où, est encore mieux. Orienter les "trouvailles" vers des producteurs les plus généreux est seulement le point négatif. "Big Brother" en esprit ? Investisseur dans l'écologique et la génétique, aussi. Cela ne veut pas dire qu'il est impermébles aux erreurs ou aux bugs. Dernier né, Google Latitude qui va apporter la localisation des membres dans l'espace à l'aide du téléphone mobile.
Chercher son chemin dans ce labyrinthe d'options, n'est-ce pas la clé du succès ou de l'insuccès pour le consommateur et le fournisseur de services ? Des agents intelligents comme « meta-crawler » achèvent l'intégration logicielle en captant les informations sur les habitudes des consommateurs d'Internet, pour orienter les choix en supprimant, en plus, les redondances.
Cinq ans d'existence, on pointait Facebook, le successeur de Google avec 150 millions d'utilisateur dans le monde. En 2006, il refusait de se faire racheter par Yahoo pour un milliard de dollars. Microsoft avait investi 246 millions dans l'affaire dans laquelle plus de 100 millions de membres n'hésitaient pas à s'inscrire avec leurs données personnelles dédaignant le problème de la confidentialité. Google Earth continue sa chasse à l'espace.
Depuis la dégringolade du hardware, IBM était devenu aussi un grand marchand de "solutions" avec un backup financier constitué en trésors de guerre de l'histoire.
Aujourd'hui, pour les grandes multinationales, les mainframes sont devenus d'énormes serveurs centralisés sur un point unique dans le monde, reliant tous les subsidiaires satellites. Pour le business, le PC sur le bureau. Des sociétés éparpillées par centre d'intérêts dans le monde, en réseaux intégrés mondiaux, reliés par le web, avec d'énormes bases de données, par l'intermédiaire des objets en html pour assembler rassemblés dans des bibliothèques. Mais qu'est-ce encore au juste l'oublié « html » ?
Jeu de Lego, cette programmation qui assemblent les morceaux d'intelligence en donnant un input et en recevant un output que l'on espère le plus prévisible possible.
Un cas particulier, pour la maintenance des grands projets dans le temps et l'espace, il existe des softwares, type « MS Project ». Toutes les tâches y sont répertoriées dans leur succession logique, assignées, planifiées, semaine par semaine, avec des "points d'ancrage de constat" jusqu'à une date finale qui ne reculait jamais quelques que soient les circonstances. Un merveilleux outil de travail, mais qui nécessite une mise à jour continue par des personnes souvent à temps plein. Rien n'est gratuit, encore une fois. Ce qui devait être un outil de gestion des ressources humaines devient le nouveau joug, la nouvelle corde pour pendre celui qui n'arrive pas dans l'agenda fixé. Terminer ses propres tâches de la semaine sans s'occuper des problèmes des autres et du projet dans son ensemble devient la préoccupation « number one ». La qualité du travail passe au second plan. Si d'aventure, une tâche se termine plus tôt que prévu, pourquoi chercher autre chose qu'une diminution de stress. Adieu le travail en équipe ! La direction ne voit plus des développeurs, des hommes, mais des tâches. Oubliées les initiatives, les réclamations, Seuls comptent les clicks sur les tâches finies ! Un développeur manque à l'appel : on dérange l'ordre établi sans perdre de temps. C'est beau l'informatique !
L'Inde est actuellement l'usine de la maintenance avant de passer à celle de la conception. En octobre 2008, l'Écho titrait "La high-tech indienne craint pour ses contrats et ses emplois". Les répliques du séisme qui secoue Wall Street se font ressentir à Bangalore à 13.000 kms de sa source. Les externes, intérims et autres sont les premiers touchés dans une crise. Les fournisseurs de services informatiques ne font pas exception. Les secteurs financiers et assurances constituent jusqu'à 40% de leur chiffre d'affaires. Tata Consulting Services, Infosys, Wipro, etc occupés à hauteur de 200 millions de dollars de sous-traitance pour Lehman Brothers, les 1500 personnes sur place à Bombay se voient un avenir rétréci d'autant. La renégociation à la baisse des contrats est prévisible. La compétition recommence entre ces sociétés du travail à bon marché.
"Internet reste net" écrivais-je, un jour. 2009 est l'année de son vingtième anniversaire. Il a transformé le commerce mondial. Beaucoup d'utilisateurs se sont rendus compte que certains produits étaient moins chers en se passant des intermédiaires et en commandant par l'intermédiaire d'internet tous les biens de consommation. Pas d'infrastructure lourde de vente, pour raison. Une page d'accueil suivie d'une série de prix pour concrétiser les rêves. Les achats en ligne n'ont fait qu'augmenter de concert, aux risques et péril des utilisateurs qui deviennent, eux-mêmes, leurs propres arguments de vente. Réduction d'autant du personnel dans le commerce "ancienne vague". Est-ce une anarchie contrôlable ? Le "gratuit" fait oublier beaucoup de chose. La qualité de l'information et le prix sont souvent trop antagonistes. Oui, il y a des articles qui valent leur pesant d'or et qui viennent de "générateurs" d'information, mais il faut les déceler au travers d'un fouillis de fausses informations ou mal contrôlées parce que contrôler demande de l'investigation et du temps. La vidéo et l'image, air du temps, commencent à détrôner l'ère du texte. La majorité des blogs sortent souvent en copier-coller "entubés" dans une originalité douteuse ou frelatée. Les sites citoyens ne sont pas souvent mieux lotis. Même les interfaces de la modération ne peuvent assurer la véracité de ses dires. Tout est une question de prix et les connaisseurs sont bien loin d'assurer l'intérim dans la fonction. Les commentaires ne sont que des pis-aller dans lequel l'ego est plus marqué que la pureté de l'info. Si objectiver n'est pas possible ou fiable, il faut subjectiver le sujet dont n'est pas nécessairement ni au moulin, ni au fourneau, pour, seulement, garder l'audience. Les morceaux de vie sont donc stockés, entachés d'erreurs et de déviances. Aux moteurs de recherches d'assurer la captation de l'info dont on ignore le degré de vraisemblance. Vinton Cerf, un des fondateurs d'Internet par sa participation dans l'élaboration des protocoles TCP/IP, affirme qu'Internet n'est qu'à ses balbutiement. La norme IPV4 permettait de créer 4,3 milliards d'adresses et suffisait à l'époque expérimentale des débuts. Le système DNS traduisait celles-ci de l'alphabétique au numérique. La norme IPV6 approche.
Mais, qui contrôle Internet ? Il est certain qu'un minimum de concertation et de standardisation est nécessaire pour ce conglomérat anarchique d'ordinateurs. La gouvernance est toujours d'actualité. Dans les années 60, la DARPA (Defense Advanced Research Project Agendy), les préoccupations étaient complètement militaires. Il s'agissait de pouvoir réagir à une attaque nucléaire par les communications. ARPANET va dévier le projet vers la recherche scientifique fondamentale. L'ouverture au monde va se produire ensuite en 1983 avec MILNET. La NTIA (National Relecomunication Administration) y verra aussi un intérêt commercial. Dès 1998, ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) décide de ces noms de domaines à l'aide du DNS (Domain Name System) et crée progressivement les 13 domaines dont l'extension permet d'orienter les messages vers les destinataires (.com, .org, .fr...). Il devient de fait le maître à bord avec son partenaire VeriSign. Le 30 septembre 2009, renouvellement du contrat avec le gouvernement américain. Rod Beckstrom au gouvernail.
Simplement traiter l'information : Une base de données construites par le citoyen pouvait faire concurrence au professionnalisme des encyclopédies papier de Britannica ou autre. Wikipedia contient plus de 2,5 milliards d'articles en anglais, 680.000 en français. Le site est le 5ème le plus visité au monde. 250 millions de visiteurs par mois. D'autres langues sont disponibles évidemment. Ce sont les internautes qui produisent l'information bénévolement. Quoi de plus magique que l'interactivité, la mise à jour en temps réel ? Du coup, Wikipedia se retrouve 25 fois plus étoffée que l'encyclopédie Britannica. Auto-régulée, aidée de vidéos et de liens vers toutes les autres activités dans le monde. Le rêve ? Il n'en reste pas moins qu'il faille le prendre avec des réserves. En faisait l'essai d'une entrée d'informations que l'on sait erronées, la correction n'est pas immédiate. Le bilan après cinq ans crée parfois des déçus et aussi des surprises sur la gratuité qui n'existe plus toujours. Wikipedia, une autre fondation, qui a le mérite d'exister à condition que l'objectivité suive les intentions de départ. Les encyclopédistes doivent contre-attaquer en donnant des accès libres de 200.000 articles.
Depuis, le 20 novembre 2008, l'Europe donne également accès au patrimoine culturel européen, multilingue et multiculturel sur europeana.eu avec les œuvres des auteurs avec l'ambition d'explorer le rêve des idées. Comme souvent, pourtant, certains pays européens restent à la traîne. La participation de la Belgique est, paraît-il, décevante.
Le "Grid computing" (grille de calcul) joue à fond dans le virtuel des interconnexions et des clusters, tout azimut, et pourrait-être à la pointe en Europe tout en restant délocalisé et hétérogène. Calcul à la demande autorisé par l'intermédiaire de middleware, des intergiciels, inter-applications, projet ancien, non abouti, de Bill Gates.
"J'avais une aphte, j'ai fait une recherche sur internet sur les sites médicaux. Une heure après, je faisais mon testament", disait Anne Roumanoff avec un certain humour.
Trop d'informations tue l'information, disait quelqu'un.
Le télégramme n'existe plus, c'est l'eMail qui le remplace et qui envahit. Le minitel avait déjà commencé le travail de sape. Depuis, on informe, on désinforme, sans bourse délier sur la toile dans laquelle l'araignée veille. Une boîte perso d'eMail est devenue la poubelle de la pub qui ne se résout que par l'abandon ou le changement d'adresse de la victime trop peu vigilante.
Le fax avait un numéro reconnu sur les cartes de visites annexé au numéro de téléphone et a été polluée avec des messages inutiles imprimés automatiquement au frais du récepteur. Ce qui était intéressant et gratuit, au départ, tourne à de l'invasion avec un coût non négligeable pour son éradication. On pouvait débrancher le fax. Pas possible pour les eMails. Il suffit de le constater, avec le contenu de sa boîte aux emails, au retour d'une période de vacances.
Déplacer les problèmes ne les ont jamais résolus. On va le comprendre de plus en plus dans l'avenir.
Les restructurations à tour de bras, même pour baisser les redondances, ne diminuent jamais les coûts de la "Grande Trappe" même avec plus de goût qu'une "Grande Gaufre".
17:25 | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
L'enfoiré,
Bonjour, de ce qui suit ci-dessous, je suis plus qu'enclin à l'approuver.
Déplacer les problèmes ne les ont jamais résolus. On va le comprendre de plus en plus dans l'avenir.
Les restructurations à tour de bras, même pour baisser les redondances, ne diminuent jamais les coûts de la "Grande Trappe" même avec plus de goût qu'une "Grande Gaufre".
Le début du billet est fort judicieux pour donner l'eau à la bouche.
Par contre expliques moi si cela est volontaire, mais les problémes informatique, les manques de connaissances de certains utilisateurs, tu les faits bien ressortir.
Je me sens un peu coincé, car lorsque j'avance dans la lecture, je constate que tu donnes la solution, dans les lignes qui suivent.
Merci de m'indiquer si c'est volontaire et l'explication des cookies, met le palais en feu, tout comme "Bill".
Tu nous sert bien l'entrée le plat de résistance et le surplus de connaissances pour ceux qui n'ont aucune idée de ce que l'informatique peut drainer comme manque de vie.
J'ai apprécié sa lecture, mais pratiquement à chaque lecture, j'ai eû l'addition et l'estomac plein......
Le tarif sera élevé pour celui qui ne prendra peut-être pas le temps d'analyser et de tester ce que tu dis, qui est juste pour les utilisateurs que nous sommes.
A moins, que je ne puisse me tromper......
A te lire,
Bien à toi,
Le Panda.
Ecrit par : LE PANDA | 22/11/2008
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Le Panda,
« Restructurer » est toujours un aveu d'échec de son entreprise. Et cela coûte très cher. L'avenir pourrait être bien plus grave dans son prolongement par la réduction des coûts. Le bénéfice, on n'espère même plus le faire par les revenus. Souvent les opérations sont mal calculées dans le temps nécessaire, alors on se questionne car on ne peut vendre à perte dans la durée, même si au départ, les affaires font plus parties du marketing que dans la rentabilité.
Dans l'informatique, autre tempo. Le travail à domicile, le travail en s'occupant dans son coin à un projet, qu'est-ce qui empêche de pousser le bouchon plus loin encore et de perdre le fixe, le salaire mensuel par contrat et n'être payer que pour la prestation après la réalisation des projets? Tous des administrateurs d'une société qui devient virtuelle, dont on ne connait plus ses membres. On semble y gagner, et pourtant.
Nous avons devant nous une nouvelle relation humaine dans le travail, auquel il faudrait très vite réfléchir sous peine de problèmes important du côté des cotisations de pensions. Les jeunes qui ne penseraient même plus cotiser pour une hypothétique arrivée à la retraite.
Tous des free-lance, cela peut se concevoir si le payement est en fonction de la vente de la pièce de software crée est substanciel. Devenus administrateurs de son destin, des problèmes de leur création à leur réalisation. Vendeur de ses propres manières de traiter un problème. Concurrence, entre plusieurs solutions. Plus aucune responsabilités de la société qui n'est plus qu'un intermédiaire. Cela fait réfléchir, non?
Oui, j'ai habillement présenté la situation des utilisateurs lambda qui sont bien loin d'avoir cette fougue pour l'informatique, mais qui est de plus en plus imposée par la gestion d'une vie actuelle.
Bientôt plus de guichets de banques (ou de moins en moins) pour répondre la crise actuelle. Tout devient numérique. Le clavier, les écrans en stand alone. La logique n'est pas quelque chose d'inné dans toutes les têtes. Loin de là.
Les cookies n'étaient là que pour montrer le « sucre » avant d'en découvrir le sel qui est bien moins présent qu'on pourrait l'espérer.
Questions de générations, évidemment. J'ai eu la chance d'être dans le milieu depuis les débuts. Mais pour les autres, c'est pas gagné.
Dans l'article qui suit viendra une vision du futur qui répondra partiellement aux problèmes généraux à condition que la « peur d'utiliser » arrive à sortir des têtes.
Les exemples mentionnés sont du vécu. Rien d'inventé. Il n'y a pas manque de vie, mais il y a une autre vie qui oublie de plus en plus l'analogique au profit du numérique.
Mais, c'est d'une autre intelligence qui est nécessaire et les gènes n'ont pas encore pris en charge ce changement.
La révolution est bien là.
L'estomac plein. Absolument, je suis sûr d'en oublier dans tous les coins. Analyser l'informatique pourrait (si ce n'est pas déjà le cas) se retrouver dans les cours de philosophie comme l'est actuellement le voyage d'Ulysse avec l'Odyssée.
Autre époque, autre voyage avec ses aléas.
C'est un peu le message de tout cet eBook qui se voulait non compatissant et volontairement critique pour une réflexion plus profonde encore.
Ce que disait la caricature du Chat est absolument exact: "ce n'est pas parce qu'un coureur bat son propre record, qu'il est forcément en avance sur son temps". N'en déplaise à Forrest Gump d'ailleurs.
Ecrit par : L'enfoiré | 22/11/2008
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L'enfoiré, bonjour,
je suis un peu pour ne pas dire beaucoup PERDU dans le sens des explications que tu donnes du "virtuel". Ne sommes nous pas tous des virtuels ou des temporaires, tout dépend dans quel camp on se place pour comprendre le sens d'une vie. La meilleure ou la plus mauvaise des idées reste peut-être tout simplement de comprendre que savoir lire ou écouter l'autre est parfois plus pénible que de se comprendre soi-même. Pour reprendre ta citation de départ elle reste comme le sucre et le sel, à chacun sa dose de goût. Ce que disait la caricature du Chat est absolument exact: "ce n'est pas parce qu'un coureur bat son propre record, qu'il est forcément en avance sur son temps". N'en déplaise à Forrest Gump d'ailleurs. Forest Gump, reste une distraction n'en déplaise au Chat, le Chat est une réalité parfois pas toujours facile à comprendre, mais qui dans la simplicité trouve sa place, comme son talent. Je voudrais comprendre à quel stade de cet eBook se situe la réflexion la plus profonde, pour moi modestement, elle reste la suite d'une personne qui analyse l'acquit de sa situation de travail et qui la lance sur la scène pour tenter de la faire comprendre. Justement je trouve que la difficulté d'un langage, ne colle pas toujours à l'actualité du moment, car nous avons tous besoin de repères qui "eux" ne peuvent venir que du passé. Le progrès de l'analogique au numérique est une réalité quotidienne, que parfois on utilise sans même le savoir, essayer de prouver le contraire c'est démonter les bases de toutes conceptions, y compris celles de la pensée universelle qui passe juste un PEU. Par le canal, ou câble de l'informatique, les gens utilisent les choses, à plus de 90%, sans même savoir comment cela est créé, à moins que l'utile, soit oublié lorsque l'on trouve l'agréable avec. Cela à tous les points de la vue de la vie, mais les choses que tu expliques semble futuristes dans un monde noyé, car dépassé par l'exploit de la technique, que tu prends comme un enfant, pour lui montrer le chemin, alors que peu de temps, plus vite que ce que l'on peu croire en peu de temps c'est lui, qui te tournera le dos, ou te tendra la main. Le monde du virtuel, reste la même expression que l'homme ou la femme qui en aime "UN" en pensant à un AUTRE. C'est plus fréquent que ce que certains pensent, puis tu as la rigueur, et le non droit à l'erreur, c'est difficile de le vivre. Alors je sais que le gâteau quel qu'il soit possède du sucre et du sel, je le déguste car je l'aime, ou je ne le prends pas, connaissant déjà son goût, je n'en veux plus. La philosophie peut passer, par tous les moyens le principal, reste que la personne concernée s'en donne les moyens. La logique peu être synonyme de "folie" tout dépend de quels côtés l'on se place. Là aussi il est possible que je me trompe, mais de l'échange arrive ce que chacun tente de vouloir expliquer ou que l'autre peu comprendre. Merci de ta réponse.
Le Panda Patrick Juan
Ecrit par : LePanda | 23/11/2008
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Le Panda,
Je comprends parfaitement que tu sois perdu dans le « virtuel ». En fait, ton incompréhension est plus fondamentale que tu pourrais le croire. Ce n'est pas pour rien que les montres bracelets ont souvent des aiguilles et des chiffres digitaux. On veut simplement s'attirer le plus de clients possible.
L'analogique est temporaire. Le numérique est absolu et définitif. 1+1 ne fait jamais 2,5 chez moi. Rigueur contre « à peu près » poétique. La vie joue entre deux tableaux, cœur et raison. C'est une chance de pouvoir choisir son camp selon ses prédilections.
Le film Forrest Gump a reçu un Oscar, pour la philosophie qui se cache derrière ses images. Il cadrait bien, un rêve que cherche beaucoup de monde en courant sans comprendre le sens de la vie. Innocent, il ne pouvait comprendre, les autres peuvent y réfléchir. J'ai adoré ce film parce qu'il faisait beaucoup réfléchir.
Le Chat, Philippe Geluck a, en effet, un esprit très « Belge ». Rien à voir avec l'esprit français.
Les chapitres 12 et 13 se trouvent au centre de la controverse. Cet eBook est une analyse sans complaisance de ce qu'a été l'informatique vu par l'intérieur. Acteur observateur, je suis et qui compte les points bien en dehors de moi.
Nous avons besoin du passé et du présent pour avoir une chance de construire un futur meilleur.
Les pions sont en place. A nous de savoir s'ils sont sur la bonne case. Le numérique crée l'intelligence lisais-je dans le Science et Avenir de ce mois. Véritable révolution. Ceux qui aiment les sciences exactes devaient se sentir en déphasage avec leur entourage dans le passé. Mes lectures n'ont jamais été vers l'imaginaire, le magique, le fantastique, le religieux.
La pensée universelle est occupé à changer en fonction des deux approches, l'analogique et le numérique. La première qui se rapproche par le cœur du côté artistique et du religieux, la seconde par la raison, la science et la philosophie laïque. Rêve et réalité.
Un de mes anciens article ne « Ne bosons pas, mais si... » ne faisait qu'effleurer la science avec l'humour. Aller plus loin, aurait effrayer. Le vrai scientifique ne cherche absolument pas à trouver une main chaleureuse sur son parcours. Il compte les points, il analyse les résultats et donne son interprétation des faits.
L'homme et la femme, en science, ne sont que de petites différences analogiques qui se croisent comme les protons et les électrons. Si la charge est égale, ils s'écartent, si elle est inverse, elle fusionne.
L'erreur est humaine seule la récidive est moins pardonnable, mais reste néanmoins dans l'humain.
Se donner les moyens à la philosophie, oui, mais c'est une science de l'expérience qui devrait s'apprendre vers le 3ème tiers de sa vie. La logique ne joue pas dans le partage, elle est souvent unique. Plus froide peut-être. Mais tant qu'on arrive pas au zero absolu Kelvin s'entend, pas de problème.
Ecrit par : L'enfoiré | 23/11/2008
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Cookies : Dès le début c'est du sucré/salé !
Sucré : Le biscuit évite de taper ses mots de passe à chaque visite de nos sites préférés.
Salé : Le biscuit est un sacré espion potentiel, n'importe qui passant sur le PC a accès aux différents comptes internet (forum blog ou autre)
Mitigé, les navigateurs devraient proposer des politiques de cache internet ET cookies personnalisables à souhait : Pour tel site je garde cache ET cookies pour tous les autres j'efface en fin de session .
Le cache et les cookies permettent d'accélérer le surf, si si, même si chez moi ces maladies ne survivent pas.
Le soft "on line" n'est pas du tout gratuit, superbe outil à collecter des informations personnelles.
Ces fichiers sont un peu plus tard revendus à des fins de marketing direct très ciblé à des entreprises de téléphonie et de cyber-commerce.
"aucune information personnelle ne sera révélée", sauf que la notion de personnelle est super vague .
Dire l'adresse duchnoc@fai.com = automobile est-ce personnel ?
Dire l'IP 255.XXX.X.X aime bien les livres est-ce personnel ? Ben non, pas pour ces simili-philanthropes.
Voilà comment vos pop-ups, les cyber-pubs, les mailings, la télé-vente vous connaissent ...
Rien n'est gratuit cher enfoiré !
Les freewares sont gratuits, mais quoi de mieux pour un développeur que de pouvoir dire : "j'ai 15 million d'utilisateurs".
Rapidement il contribue à un logiciel payant pour la concurrence.
Ou même, fort de son succès, le freeware se transforme en version supérieure en une version payante (JV16 power tools) ...
L'open source fonctionne de la même logique, "les généreux donateurs" sont des majors qui sont ravis de pouvoir se servir d'un code apprécié, testé et approuvé .
Bénéfice supplémentaire, il voient la pertinence de l'innovation avant même de la proposer à leur public.
Les Linuxiens ont tous aimé ? Ben c'est tout bon !
Le vrai soft : 1 fonction / 1 outil (si possible sans installateur) est à mon sens ce qui se fais de mieux même si l'esthétique reste sommaire.
Choix personnel entre fonctionnalité et tape à l'œil, il n'y a pas photo je préfère mille fois la fonctionnalité spartiate à une ribambelle de DLL ... (spacemonger, scrutico, XP-antispy, regseeker)
Avare en ressource je le suis certainement, pourquoi acheter un bus 45 places pour se déplacer à deux ?
>"Le fiston est bien venu une fois ou deux à la rescousse, puis les choses se sont tassées... au fond du grenier."
-C'est pas sympa de s'attaquer à mon fond de commerce, ces erreurs d'appréciation me permettent d'offrir des PC gratuits à des gens en ayant réellement besoin...
En même temps j'agrandis la communauté des Linuxiens, ça arrange tout le monde : Le grenier, le fiston, l'écologie, moi (pour me faire les dents), ceux qui en profitent, Linux et même les majors qui de ce fait bénéficient de plus de "N-2 alpha testeurs"...
La documentation ?
Si tu as acheté une fois dans ta vie un PC avec une documentation digne de ce nom il faut me téléphoner !
-"il fallait bien avouer qu'il y a eu quelques arnaques notoires."
Sur ce point nous pouvons ajouter quelques autres arnaques:
1/ Les OS pré-installés ne sont en rien un réel OS, mais une mouture façon Mr Acer Packar ou autre, dès le départ chargée de voyageurs clandestins.
2/ Le fait de réinstaller une version d'O.S "propre" fais perdre toute garantie matérielle, non il faut garder les clandestins sans broncher !
La machine est obèse dès la sortie du magasin.
3/ L'arnaque du Hardware, vous achetez telle carte mère, telle carte vidéo etc..
Sauf que ce matériel n'a jamais été fabriqué par la marque annoncée, il a été fabriqué chez Mr Acer and Co sous licence constructeur.
Bien loin des spécificités du modèle annoncé.
Impossible d'utiliser les pilotes originaux, ils ne reconnaissent pas le matériel, vous êtes ainsi lié à la marque du PC pour pouvoir avoir vos hardware device ...
La nouvelle façon de créer du soft a ses raisons financières, les majors investissent en bourse sur des produits diversifiés pour s'aménager une sécurité.
Si Mr Microsoft avait réussi son coup avec yahoo, nous aurions rapidement vu apparaitre des Picassa, earth, desktop yahoo.
De là par le biais de la pub et de la vente de fichiers, de partenariats, Big Billou y aurait retrouvé tout le manque à gagner.
VISTA est un O.S qui restera dans les anales de ce qui se fait de plus foireux sur terre.
130 processus intégrés dès le départ, le pas a été franchi de trop de complicité avec les fabricants de hardware ...
Inutilisable VISTA est dépassé par n'importe quelle distribution Linux, ce, même en confort d'utilisation.
XP gardait au moins cette qualité de "prêt à l'emploi" que VISTA a transformé en "prêt au contre emploi" .
Windows 7 est-ce bien sérieux ?
N'importe quel linux est capable de faire tourner n'importe quel hardware avec des pilotes génériques .
De l'incompatibilité avec ses propres distribution (XP) nous sommes en pleine hérésie !
Trahison vers les fabricants de hardware, booter depuis un disque SCSI impossible, le plug and play de Windows ne fera pas mieux que linux dans le domaine ...
Super, les Windows addicts perdront un argument de plus !
Trop de bêtises font tourner la tête de windows vers les essentiels, gtk2 et le C++ à la rescousse .
"The right langage in the right place" Enfin !!!
100 millions de dollars pour Linux ce n'est pas de la philanthropie, M$ sait que ceux qui savent faire de l'interopérabilité sont ceux de chez Linux .
(tiens désormais on peut installer linux directement à partir de XP, ça c'est de l'interopérabilité !
Linux reconnait TOUS les systèmes de fichiers qu'ils soient ceux de Windows ou de Mac .(l'inverse est impossible)
Ben oui, je ne m'enfoncerai pas dans le chapitre du management informatique, j'ai subi la même chose dans mon domaine.
Je constate simplement qu'il faut plus de Hardware pour ne pas faire plus de choses, ni les faire plus facilement ou intuitivement ....
La rapidité avec VISTA je n'en parle même pas, l'interopérabilité non plus ...
Ils n'ont rien compris à ce qui fait aimer Linux, ça demande des efforts, soit, mais avec les avantages XP cumulés à ceux de Linux là ce serai la voie à prendre ....
Mais, car il y a un mais, les fabricants de hardware perdraient la poule aux œufs d'or des systèmes propriétaires toujours plus gourmands de façon injustifiée et injustifiable .
Une sorte d'entente illicite tellement évidente !
A tel point que le Big Billou sont incapables de développer des OS prenant correctement en charge le hardware.
Le hardware a dépassé le software ...
http://www.youtube.com/watch?v=jeOLQm7Jju4
Ecrit par : Liberty | 24/11/2008
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Liberty,
« Cookies : Dès le début c'est du sucré/salé ! »
>>> Belle image. Pourvu qu'elle ne devienne pas sûre et amère en plus.
Tellement de chose ont été créées pour faciliter les tâches. Tellement pour les complexifier, aussi.
Ce qu'on donne par la grande fenêtre ouverte sur le monde, est capturé en douce par le trou de la petite souris. Pour vivre heureux, vivons caché, disait-on. Je me suis toujours demandé s'il n'y avait pas des logiciels qui permettaient de copier les mots de passe. Windows conserve, en effet, les identificateurs (nom, adresse, signon...) pour faciliter l'utilisateur dans une cache qui se trouve sur disque. Rien n'est trop beau pour faciliter la vie. On retient tout, même les erreurs d'encodage. Plus moyen de mettre son condom de protection. S'il est dit que ce n'est pas utilisé comment ce fait-il que l'on se retrouve sur certaines annonces publicitaires? On analyse et cumule les accès vers l'extérieur et en plus « puisqu'on le vaut bien » on permet de faire des recherches sur le disque dur perso aussi. Mais, là, tu peux travailler offline.
« Rien n'est gratuit cher enfoiré ! »
>>> Absolument. Google doit bien payer ses collaborateurs et ... ses dirigeants. C'est le prix du beurre. Fondations pour fondation. Wik, Agor, Micr... je laisse les mots incomplets pour ne pas être repéré par les moteurs de recherche. En plus, il y a le bénévolat qui s'en mêle.
« L'open source fonctionne de la même logique, "les généreux donateurs" sont des majors qui sont ravis de pouvoir se servir d'un code apprécié, testé et approuvé. Bénéfice supplémentaire, il voient la pertinence de l'innovation avant même de la proposer à leur public. »
>>> C'est peut-être le problème de demain. Kamikaze modernes, qui ont heureusement d'autres sources de revenus.
« Le vrai soft : 1 fonction / 1 outil.... je préfère mille fois la fonctionnalité spartiate à une ribambelle de DLL »
>>> Si je comprends bien, la fonction est le programme complet. Sinon, c'est du mécano comme les macro instructions peuvent l'être et là on entre dans un autre problème. « connaitre les tenants et les aboutissants et ne jamais avoir à les modifier trop souvent » Si c'est rarement le cas, c'est encore plus dur de trouver les concepteurs initiaux quand il faut corriger tout de même. Souvent, c'est la réécriture et du temps perdu. Java a partiellement résolu le problème avec le « casting », l'héritage, le polymorphisme mais il n'en reste pas moins ardu à maitriser, les abstractions dans les méthodes ne font pas tout.
« fonctionnalité et tape à l'œil, il n'y a pas photo »
>>> Et bien oui, il y a peut-être photo, tout de même. Les utilisateurs ne se laissent entrainer que par la convivialité. Je l'ai dit, un informaticien n'est pas Monsieur Toulemonde. Celui-ci veut des couleurs, du relief... et j'en passe. Le "nice to have" a encore ses lettres de noblesse chez le citoyen lambda. S'il doit travailler, il préfère que cela reste joli.
« un PC avec une documentation digne de ce nom il faut me téléphoner ! »
>>> En fait, et j'en sais quelque chose, la documentation est quelque chose qui est presque aussi long à réaliser que le logiciel lui-même. La maintenir est un cauchemar.
« La machine est obèse dès la sortie du magasin. »
>>> Absolument. C'est ce qu'on appelle « to customerize » dans le langage de Skakespeare. C'est ce qu'on a trouvé de mieux pour paramétrer ou pour ne pas avoir trop de softwares « intégrés ». Prendre ce qu'on a besoin et jeter le reste. Mais cela pourrait tout de même être dangereux. Car la config et les envies ne restent pas les mêmes très longtemps.
« jamais été fabriqué par la marque annoncée »
>>> Si c'est un clone. C'est évidemment le cas. « Ils ne reconnaissent pas le matériel, vous êtes ainsi lié à la marque du PC pour pouvoir avoir vos hardware device ... » C'est ce qu'on appelle être « propriétaire » et s'assurer ou s'aménager une sécurité financière. Le coeur reste la poule aux oeufs d'or. Faut pas pousser... quand tu veux faire du business.
« Mr Microsoft avait réussi son coup avec yahoo »
>>> Il a mis, ce Monsieur, beaucoup d'argent sur la table, pourtant. Il doit y avoir d'autres raisons bien cachées. MSN n'a pas marché comme espéré, donc... fallait d'autres opportunités.
« VISTA ... 130 processus intégrés dès le départ, le pas a été franchi de trop de complicité avec les fabricants de hardware ... »
>>> C'est le prix à payer quand tu veux couvrir tout le marché.
« Windows 7 est-ce bien sérieux ? le plug and play de Windows ne fera pas mieux que linux »
>>> Attendons tout de même. Patience et longueur de temps... L'invention ne s'est jamais faite sur commande mais par tests successifs, par espionite aussi. Windows 7 est probablement déjà en Beta, quelque chose. Si Linux fait mieux, il sera copié. Si Windows fait mieux, Linux copiera. C'est écrit.
"The right langage in the right place . Linux reconnait TOUS les systèmes de fichiers »
>>> C'est un must quand tu n'as pas toutes les clés de la réussite. Ce sont les interfaces qui font l'interopérabilité. De simples modules, des verres de contact. C'est pour cela que souvent Microsoft n'a cédé qu'avec parcimonie, les différents points du contact propriétaire. La cornée est trop belle. Est-ce que Linux le donne dans l'autre sens, pour ses propres programmes exclusifs?
« il faut plus de Hardware pour ne pas faire plus de choses »
>>> Il faut avouer que la convivialité coûte très cher. Plus tu te rapproches de l'homme, plus cela devient complexe. Reproduire la nature, on y parvient avec les fractales, mais avec une force de calcul de Mips considérable. Avec un 80286, j'en ai fait, mais il fallait des heures si pas des jours pour sortir le moindre dessin qui représentait une bête feuille d'arbre. La science ne sera JAMAIS satisfaire de la vitesse du processeur. Et je suis désolé, c'est justifiable, du moins, par là. Une comptabilité, je l'ai faite sur un bête ordinateur de bureau (pas encore un PC). Mais çà c'est additionner et soustraire. Rien de beaucoup plus.
« Le hardware a dépassé le software ... »
>>> C'est probablement vrai, car, le soft, c'est pas de la petite bière à écrire ni à maintenir.
Un vieux de la vieille dans le domaine.....!!!
Ecrit par : L'enfoiré | 24/11/2008
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Dis, l’enfoiré, ne dis pas de mal de l’informatique puisqu’elle te permet d’écrire ton eBook . Enfoiré et ingrat !
Ecrit par : Willy | 24/11/2008
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Bonjour Willy,
N'aie crainte, je dois temporiser Liberty, d'ailleurs. Lui, qui veut tout faire en gratuit, ne connait pas toujours le prix des choses en dehors de l'informatique.
Mon ancien article "Tout pour rien ou rien pour tout" avait déjà donné un point jusqu'où il ne fallait pas aller.
Pas folle la guêpe.
Ecrit par : L'enfoiré | 24/11/2008
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>>"Je me suis toujours demandé s'il n'y avait pas des logiciels qui permettaient de copier les mots de passe. "
Là tu touches à mes premiers amours, ben oui il y en a, demande ils sont à disposition .(keylogger)
Juste modifier un poil (polymorphisme), parce qu'ils datent d'erreurs de jeunesse ...
>>"C'est peut-être le problème de demain. Kamikaze modernes, qui ont heureusement d'autres sources de revenus."
Non c'est pas si manichéen, il y a les cadres qui se déplacent aux frais de la fondation, font des cours payants, et toutes les petites mains derrière comme moi qui s'aiguisent les dents.
Je ne suis pas un Kamikaze, tu sais bien à terme mon projet : un scooter et dépannage à domicile, connaitre le max de soucis, d'OS et de hardware c'est préparer mon avenir .
>>"la documentation est quelque chose qui est presque aussi long à réaliser que le logiciel lui-même"
Un glossaire de vocabulaire, quelques explications sur le POSIX suffiraient...
Expliquer le courant, les extensions de fichiers, ça ne change pas tous les jours tout de même !
Expliquer qu'un chemin pour installer ne dois pas exéder 26 caractères (ce que je vois sur certains pilotes) ça évite bien des soucis !
Quand le dossier principal est ATI radéon mobille V xxx.xxx.xxx, avec des sous dossiers avec des noms encore plus longs + l'exe pareil là c'est une faute professionnelle)
>>« La machine est obèse dès la sortie du magasin. »
Ne parle pas de customiser, les gogos laissent la dobe originale et n'ont pas envie ni de customiser, ni d'apprendre, puisqu'on les noie dès le départ avec des daubes sans nom .
>>Si c'est un clone. C'est évidemment le cas.
Publicité mensongère, on n'annonce pas une carte XXX qui n'en est pas.
Le seul PC propre est un PC assemblé soi même !
>>"C'est le prix à payer quand tu veux couvrir tout le marché."
Deux bonnes claques bien placées oui !
Faut pas déconner 130 processus pour n'en utiliser que 23 ...
Poussons la logique jusqu'au bout, mettons par défaut l'écran pour déficients visuels et les sons pour déficients auditifs .
Un os qui me demande si je suis sur de vouloir faire une chose une fois ça passe, un PC qui me le demande 4 fois là je tue !
Ça tue la facilité d'emploi et sème le doute dans l'esprit de l'utilisateur .
Paniqué il abandonne.
Un contrôle parental par défaut cela signifie que les acheteurs ont moins de 16 ans ? Faut pas déconner !
>>"Attendons tout de même. Patience et longueur de temps..."
J'attends pas de soucis, je suis pas raciste j'ai 3 OS dont windows, mais windows a copié béryl avec vista (très mal)
>>"Est-ce que Linux le donne dans l'autre sens, pour ses propres programmes exclusifs? "
Dis Guy, open source c'est à code ouvert, est-ce que tu penses qu'il existe des exclusivités chez nous ?
Ben non ça n'existe pas !
>>"Il faut avouer que la convivialité coûte très cher"
Essaye de passer sous Linux une fois dans ta vie et tu verra que la convivialité est encore plus développée que chez W$, contrairement à ce qui ne l'ont jamais testé en pensent ...
Ce, avec 1/4 des besoins matériels que vista on fais beaucoup mieux !( de très très loin)
Chez microsoft tu cherches tes logiciels sur le web, chez nous il suffit de cocher une case à côté du descriptif et ils se téléchargent et s'installent, c'est pas convivial ça ?
>>"C'est probablement vrai, car, le soft, c'est pas de la petite bière à écrire ni à maintenir."
Explique moi donc pourquoi nous avons TOUTES les applications développées en 64 bit avant windows, plus de pognon peut être ? ha ha ha
Maintenir, tu parles de TON job, développer à la commande, ne pas faire l'amalgame avec le grand public ...
Tu développes, tu testes, tu publies, tu corrige les résidus et tu es tranquille ....
Faut dire que chez nous les rapports passent par le launchpad, c'est très centralisé mais accessible à tous, pas de secrets de polichinelles à défendre.
D'autant que c'est inutile, un Windows se craque en moins de 15 minutes ...
On simule wpabaln.exe et wpa.dbl et ça ne pisse pas lus loin .
Un windows gratis activé !
Tout ce que tu n'arrives pas à faire sous windows tu le fais sous Linux "fingers in the nose", alors quand j'entends des gens me dire j'ai une sécurité inattaquable pour mon forum je me marre !
Propos tellement ridicules que je n'ai même pas envie de relever le défi, mégalo total !
RIEN n'est infaillible, c'est une jeunesse, une passion, ça finit par devenir un job payé par le 13 (tu vois de qui je parle, notre séquence nostalgie par envoi de photos d'artilleur)
Un particulier qui me sort ça est soit fou, soit mégalo, soit inconscient, y'a pas que microsoft qui recrute dans le domaine ...(histoire de CV officieux et de pseudo)
@ Willy, tu n'es pas de la même génération que l'enfoiré donc tu sais ce que signifie le mot Troll ...
(ha que je suis méchant ! Enfoiré en puissance)
NB : l'enfoiré essaye au moins space monger ou même ekinx, ça t'instruira ;-)
Ecrit par : Liberty | 24/11/2008
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L'enfoiré,
Pas d'accord, avec la suggestion qui laisse croire que les P.C. sont livrés sans documentation.
Elles ne sont plus livrées avec l'appareil neuf, non pour une question de coût, mais parce que des "assembleurs " qui se disent informaticiens, montent des entreprises pour fermer 6 mois après.
Ensuite il faut être "logique" je le pense, tu ne sais vivre qu'en vivant, il en va de même pour apprendre à lire, à parler, c'est du mécanisme et pas autre chose, etc....
Par la suite ne pas perdre de vue, qu'essayer de faire du dépannage par téléphone j'ai essayé, la majorité des gens ne savent pas même installer un logiciel basique et faire un clic droit ou gauche.
A mon avis le phénomène est ailleurs, les gens veulent tout pour Rien, pensant avoir la science sous la main de la C.B..
Non, non, les choses sont bien plus simples, il faut savoir lire, écrire, compter, et cela n'est pas à la portée de gens qui n'ont envie de rien faire.
Ils pensent qu'il suffit d'appuyer sur un bouton et hop cela marche, hé bien NON.
Les notices d'informatiques je dois en avoir entre 3 et 500 kgs, j'ai fais passer des tests, à des personnes qui prétendaient connaitre presque tout.
Je pense que tu te doutes du résultat: NUL.
Donc le côté technique passe avant tout par le sens de savoir lire et comparer nos acquits avec ceux que l'avancée de l'informatique offrent à chacun et de même ce que chacun sait en faire ou en comprendre.
On ne peut toutefois pas tout mélanger, à présent je crois que je serais curieux de connaitre, ta réponse sur ces points, et je partage tout à fait le point de vue de Willy.
A te lire,
Le Panda.
Ecrit par : LE PANDA | 24/11/2008
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Liberty,
« keylogger »
>>> c'est bien sûr. Je m'en doutais. Il existe même la construction de bombe sur Internet. Alors, pourquoi pas cela. On comprend que les protections bancaires pour la maintenance des comptes est bien plus sophistiquées et ne se limite plus à un mot de passe.
«les cadres qui se déplacent aux frais de la fondation, font des cours payants, et toutes les petites mains derrière comme moi qui s'aiguisent les dents»
>>> Mais c'est le lot de toutes les entreprises d'offrir la formation de ses employés et en plus ils sont payés pour cela dans leur traitement mensuel. Ils pourront se payer une retraite aussi, puisqu'ils seront payés par leur entreprise. Je crois qu'on oublie de manger et la location du logement. La vie quoi... « connaitre le max de soucis, d'OS et de hardware c'est préparer mon avenir » et être payé pour, rend la sécurité en sus. Je crois qu'il y a certaines choses que tu oublies au passage. Comme je l'ai dit, je n'ai JAMAIS travailler pour rien ou pour des pinuts. Tu peux cela dans un court terme, mais jamais dans le long terme. Ton travail n'est pas perdu pour tout le monde même si tu n'en profites pas.
« Un glossaire de vocabulaire, quelques explications sur le POSIX suffiraient... »
>>> Là, je me dois de rire un coup. Tu ne sais pas ce qu'est une documentation professionnelle. Je peux t'en donner les différents stades si tu veux, et ils sont nombreux. Ils se retrouvent à tous les niveaux de développement. Tous, contrôlés, vérifiés, signés par une foule de personnes avant d'avoir une chance de passer à l'étape suivante. Mettre des instructions l'une derrière l'autre n'est que le sommet de l'iceberg.
« Expliquer le courant, les extensions de fichiers, ça ne change pas tous les jours tout de même ! »
>>> Et que si. La durée de vie d'un software sans le modifier ne dépasse pas 3 mois.
« les gogos laissent la dobe originale et n'ont pas envie ni de customiser, ni d'apprendre, puisqu'on les noie dès le départ avec des daubes sans nom »
>>> Les gogos peut-être (quoique je n'en suis vraiment plus sûr). Encore une fois, dans le domaine professionnel, c'est pas du tout du même tabac. On va chercher même ce qui n'existe pas. Les softwares se sont construits en fonction des desiderata des clients et pas l'inverse.
« Le seul PC propre est un PC assemblé soi même ! »
>>> Et qui est fait par des professionnels bidouilleurs. Absoluement. Ce sont des assembleurs qui peuvent faire des desktops, mais les laptops c'est pas la même facilité. Remplacer une batterie peut-être, mais aller plus loin demande du matériel conçu pour. Il n'y a seulement pas la place de faire autrement.
« Ça tue la facilité d'emploi et sème le doute dans l'esprit de l'utilisateur .Paniqué il abandonne. »
>>> C'est le cas, pour ceux que je décrivais dans l'article comme le 3ème âge. Demande à un jeune aujourd'hui, s'il veut un crincrin qui fait craque boum hue, aujourd'hui. Tu ne vendras pas beaucoup de ces machins sans poils au menton. Avant on s'amusait avec des instructions qui adressaient les bits du bytes. Si tu en trouves des masses, tu m'écris.
« open source c'est à code ouvert, est-ce que tu penses qu'il existe des exclusivités chez nous ? «
>>> J'ai oublié de le dire. Unisys a fait dans l'Open Source aussi dans le passé. Puis il y a eu des accords avec Microsoft et cela a dû changer pas de projets. On s'adapte ou on meurt dans le commercial.
Pourquoi c'est Open, c'est pour pouvoir laisser libre court à des gens qui travaillent presque pour des prunes pour des gens qui mangent eux avec des raisins mûrs.
« TOUTES les applications développées en 64 bit avant windows, »
>>> Je crois que j'en ai donné quelques raisons plus haut.
La sécurité est en effet, le point faible de Windows. Attaqué de toutes part car le hacker préfère attaquer les produits du commerce, plutôt que ses propres jouets.
Mon tableau suivant va t'intéresser certainement car il touche le présent et le futur et j'espère que dans ce futur on pourra toujours se nourrir sa famille avec l'informatique. C'est pas de la culture cela, mais du self controle.
Ecrit par : L'enfoiré | 24/11/2008
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Le Panda,
« P.C. sont livrés sans documentation. »
>>> je n'ai jamais dit cela. Il y en a même en trop. La documentation se veut exhaustive et pas toujours vouloir commencer par le début de l' « histoire ». Là est le problème. Elle s'adresse déjà à un public averti. Ces documentations demandent une jonglerie en sautant des pages pour obtenir l'information désirée. Alors quand c'est traduit, bonjour les dégâts.
« Elles ne sont plus livrées avec l'appareil neuf, non pour une question de coût, mais parce que des "assembleurs " qui se disent informaticiens, montent des entreprises pour fermer 6 mois après. »
>>> Là, je sens le clone, ou le matériel d'occasion à plein nez. L'appareil qui est garanti par une marque qui n'a rien d'un produit blanc a tout ce qu'il faut dans la boîte. Encore une fois, une différence entre desktop et laptop. Le second étant dans une boîte scellée, en général.
« tu ne sais vivre qu'en vivant, il en va de même pour apprendre à lire, à parler, c'est du mécanisme et pas autre chose, etc....des gens ne savent pas même installer un logiciel basique et faire un clic droit ou gauche »
>>> Incontestable.
« Non, non, les choses sont bien plus simples, il faut savoir lire, écrire, compter, et cela n'est pas à la portée de gens qui n'ont envie de rien faire. »
>>> Mais, et je le répète, ce n'est pas une question de ne rien avoir envie de faire, mais d'avoir les bits , les bytes et tous le reste dans le ciboulot. Cela peut d'ailleurs être de très grands patrons dans le cas. On en a fourgué un PC sur leur bureau mais c'est leur secrétaire qui continue. Ca c'est la vérité.
Tout dépend à quoi on se destine. Le résultat est dépendant de la motivation. Tout doit rester adapté.
J'ai connu les deux styles de personnage. Je peux en parler.
« je partage tout à fait le point de vue de Willy. »
>>> moi aussi. Je connais le contexte de sa réponse.
Ecrit par : L'enfoiré | 24/11/2008
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L'enfoiré
Je ne te ferai qu'un seul reproche (non, un peu plus), dans la grande gaufre tu prends souvent les commentaires pour des commentaires de développeur multi-langage.
1/ Peu de gens développent, encore moins en multi-langage, déjà pas mal s'ils développent dans un seul langage ou même débuggent ...
Tu devrais être content que des crétins comme moi s'intéressent à ton métier .
Je comprends et respecte ta position mais il ne faut pas interpréter les commentaires pour ceux d'un pro tel que toi.
Comprends que ce n'est déjà pas mal d'avoir des lecteurs lambda qui bossent sous DOS, sur C++, en invite de commandes mais faut pas trop en demander...
Lorsque je parle de documentation PC je ne parle pas pour toi, mais pour les utilisateurs que je récupères à longueur de journée.
Ce dans un éventail très mélangé de hardware et de software.
Autodidacte et bricoleur OUI mais cela ne raisonne pas à mes oreilles comme péjoratif, je touche à tout mais à rien de A à Z .
Le but étant juste de savoir construire un PC, un OS et proposer des softs et du hardware sur mesure en fonction de l'utilisation de la bécane .
Dépanner, quand le péquin est mentalement rébarbatif à toute réinstallation .
Vision à 360 ° oui, (je me jette des fleurs) mais je reste toujours sensible à la logique de l'utilisateur, qui, je l'avoue, me semble peu logique .
Je demande juste une documentation rationnelle pour l'utilisateur courant, un style de QCM qui donne au final un didacticiel de réglages à faire et d'explications selon le niveau de l'utilisateur.
http://www.laboratoire-microsoft.org/videos/windows_xp/
La base des extensions de fichiers utilisateurs n'est pas si grosse que cela, je trouve honteux et anti apprentissage qu'il faille débloquer "montrer les extensions de fichiers dont le type est connu".
Après ça on ose me parler de sécurité et de virologie en priorité Européenne, mon œil !
Vista 160 processus, 100 activés par défaut juste au cas où, c'est de la connerie !
Au moins expliquer comment désactiver ce qui n'est pas utilisé, pourquoi le désactiver, est la moindre des choses .
Un dictionnaire du vocabulaire ne serai pas un luxe ...
C'est une pure et simple prise en otage de l'utilisateur, qu'est-ce qu'il se fout d'avoir un contrôle parental qui tourne en permanence si il est célibataire et sans enfants !
Après l'utilisateur est déçu, c'est contre productif, il dit Vista c'est de la merde, il me pose plus de questions que je n'ai de réponses .
J'ai un processeur à 4 cœurs, 3 Go de mémoire vive, 256 Mb dédiés de vidéo et mon PC est encore plus chiant que le vieux sous XP avec un 512 Mb et un processeur de base et une mémoire vidéo partagée(voilà ce que retiens l'utilisateur et comment on suicide son image de marque)
2/ Que tu ne comprenne pas mon investissement gratuit je le comprends .
Je ne trouve ma démarche pas plus idiote que de participer à des forums, écrire, pour la gloire de l'administrateur.
(ça prends autant de temps et lui aussi vit de cette activité )
Futilité pas pour tous, égo sans aucun doute mais pas plus que les blogs.
Troll c'est une insulte, ça veut dire un toxico de windows qui ne connais pas le sujet (Linux) dont il parle .
Pour en parler il faut essayer, combien de windows addicts je remets en place sur le forum, juste parce qu'ils racontent des conneries.
Incapables de se documenter, de lire, ils préfèrent avoir un PC qui les maîtrise et non l'inverse .
Du pré-mâché qui rend l'individu dépendant de son incompétence, qui les incite à rester dans l'ignorance.
Super je fais un truc mais je ne sais pas ce que je fais, on n'est pas arrivés !
Linux te force à apprendre à ne pas confondre interface graphique, OS, noyau, système de fichiers avec tes dossiers perso .
La culture du hardware est primordiale et c'est tant mieux, pose la question à un utilisateur windows : quelle fréquence d'horloge ton processeur est doté ? (en Ghtz ou Mhtz)
Le gars est bien emmerdé .
A partir de là, il a l'impression que le fonctionnement de son PC est bien aléatoire.
Cependant la bécane est étalonnée sur son composant le plus lent, souvent changer un simple composant transforme un vieux tacot en voiture de course .(dans les configurations les plus récentes)
Le tatouage du PC est un vol manifeste, quand tu achètes ta voiture si tu changes de marque d'huile est-ce qu'elle ne démarre même plus ?
Si tu y embarque mohamed est-ce qu'elle refuse de démarrer ? (packard belle, HP, géricom, compac)
Après on me parle de piratage !
Mais le piratage n'est-il pas fait pour pallier les terrorises informatiques ?
Ces sombres crétins qui font de leur gagne pain un matériel que tu achètes, qui est en fait loué .
Loué parce qu'il ne t'appartiens pas, tu n'a pas même le droit d'ajouter un rétroviseur sans que ton OS EOM ne te bloques définitivement .
Unisys a bossé en open source mais ne vous a jamais fait de cours sur ce qu'est l'open source .
Vous avez participé à bosser sur code ouvert qu'un crétin comme moi a du améliorer depuis...
Désolé pour les laptops mais désormais ils s'assemblent exactement comme des tours, và donc à ton supermarché il y a de fortes chances que le SAV te propose une config hardware à ta demande ...
Après 1 logiciel, 1 fonction c'est très discutable OK.
Mais je m'éclate drôlement en voyant les solutions payantes de ces logiciels sans installateurs !
HijackThis, spacemonger, scrutico, XP-antispy, regseeker essaye avant de les critiquer .
Sans installateurs pas de gros soucis en virologie ..
Tout ça pour te dire que la grande gaufre est géniale mais que tu restes cabré dans ton identité de développeur professionnel alors que tu t'adresse à un large public .
Déserre les fesses, Linux n'est pas ton ennemi, tu as fini ta carrière tu as le droit de voyager dans un autre univers .
Je te l'accorde Linux demande de se cultiver tant sur le hardware que sur le software, mais le jour où window nous arrive à la cheville (surtout depuis Vista) je te paye le champagne .
Je sais en permanence les processus et sous processus qui
Perdants nous avons été, perdants nous sommes en parts de marché, mais se cultiver et apprendre c'est pas fait pour tout le monde .
Puisque je prévois tes objection de développeur, regarde donc ce que nous proposons :
http://doc.ubuntu-fr.org/programmation
Ben oui nous ne sommes pas si largués !
Je ne suis pas là pour prêcher la bonne parole mais de microsoft nous n'avons zéro leçon à recevoir , ils sont totalement largués, ce, dans un échantillon de langages de programmation bien plus restreint !
On fait mieux avec moins, à qui la faute ?
A nous, ou à ces gras du bide ?
Bouffés par des clochards, faut pas être très malin !
Ecrit par : Liberty | 26/11/2008
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Liberty,
Tu as tout à fait raison. Je fais appel à la connaissance de ceux qui en principe ont suivi la même filière. Être polyglotte, en tant qu'informaticien, est un must. C'est le plus grand ratage de Monsieur « Porte » (Bill pour les intimes) de ne pas avoir pu faire un langage unique. Une sorte d'esperanto ou une sorte d'interpréteur qui traduirait n'importe quel langage choisi, en un langage universel. Il l'avait prévu. Il l'a fait au niveau d'Office, mais pas des langages de programmation. Subsiste surtout un schisme ente Basic et Javascipt (Java pur, encore bien différent, mais toujours relié à C++). Ne parlons même plus des autres langages qui ont fait l'histoire. En effet, la confusion au sujet de la doc venait de
- celle qui est maintenue au niveau professionnelle et qui, depuis 2001, se partage entre MD070, MD090, MD120 ... et j'en passe et des meilleurs et
- de celle des utilisateurs qui elle ne devrait que contenir l'essentiel de manière très progressive et non pas exhaustive comme c'est souvent le cas.
Ce que la doc ne dit, et qui est pourtant nécessaire, c'est la compatibilité entre les niveaux des softwares et eux-mêmes. Oui, on trouve généralement une compatibilité montante, mais descendante, ce ne l'est plus. Marketing oblige, il faut avancer ou ne plus pouvoir utiliser.
La logique est loin d'être présente dans le grand publique. Il n'y a pas de honte à avoir. Une checklist avec « actions à prendre » est seulement nécessaire avec les utilisateurs en début de toutes installations.
Construire un PC, ce n'est pas une mince affaire. Je ne m'y risquerais pas. Cacher les extensions des fichiers par défaut est une aberration. Adapter l'outil à l'utilisateur est aussi quelque chose qui devrait se trouver au début de toutes docs. Les bouquins qui se termine par « ... pour les nuls » ont encore de beaux jours devant eux. Un processeur multi cœurs, c'est du pur marketing. Ce n'est qu'une infrastructure qui partitionne les opérations. C'est à dire que quand une opération est en attente de l'achèvement d'une autre autre, tout le monde attend, les « n » cœurs. La technologie RISC n'a pas été trop loin dans ce sens, mais cela coutait moins cher. Donc...
Ton investissement gratuit, je n'ai pas dit que je ne le comprends pas. Tout le monde y passe soit à l'école soit en autodidacte. Mais investir avec soi, ad vitam, je dis « non ». Il doit être rentable un jour et bien rentable. Rester dans l'ignorance en n'allant pas dans le cambouis, on le fait de plus en plus aujourd'hui. En software post-moderne « java », on appelle cela « classe », ailleurs « macro », « sous-programme », bien avant.
Pas de cours Open Source chez Unisys? En effet, il doit y en avoir eu bien sûr. C'est vrai, encore une fois, suite à des accords de partenariat avec MS, les choses ont tourné court.
Je me rappelle lors d'une visite d'un grand ponte américain avoir posé la question comment un partenariat avec MS et Oracle pouvait se concevoir. La réponse a été très évasive.
Merci, de me corriger au sujet de la création sur mesure d'un laptop. Linux n'est pas mon ennemi. J'aimerais vraiment voir fonctionner en parallèle. La suite de ma gaufre va t'apprendre que Linux prend de véritables victoires
sur MS. La crise pousse très certainement à réduire les envies de payer des licences.
Témoin, oui, mais pas idiot, comme tu vois.
Ecrit par : L'enfoiré | 26/11/2008
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L'enfoiré
Juste une seul élément de ton dernier commentaire :
>>Construire un PC, ce n'est pas une mince affaire. Je ne m'y risquerais pas.
Là non, c'est sans se fouler, pour du très basique à la porté même de mon neveu, qui n'est pas un foudre de guerre ...
Se tromper est impossible, codes couleur sur la connectique et détrompeurs pour ne pas brancher ce qui ne dois pas l'être .
En revanche ça je te l'accorde fabriquer une bécane cohérente est une toute autre affaire,.
Je suis un "lent", il me faut un mois à choisir les meilleurs éléments me donnent une cohérence finale qui me conviens .
Là la doc et les soucis de bus , chipset, socket, c'est tout autre chose !
Les lier au reste, les vitesses de HDD, de connectique , c'est un autre tabac d'où le temps passé ...
Tu me donnes un prix entre 450 et 25 000€ et je te construit ta bécane sur mesure en 2 mois .
Rien de formidable, juste de l'intérêt et de la documentation .
Internet est indispensable pour trier les effets d'annonce des véritables plus.
Toi comme ta femme pouvez venir chez moi et serez reçus comme de la famille,vous resterez indépendants, je ne suis pas capable de passer "24H non stop" avec qui que ce soit .
(à part Marie et encore, elle me laisse mon indépendance toute la journée)
Là tu verra comment d'un PC EOM, à peu de frais, on peut faire une bête de course .
Franchement aucun obstacle sinon une détermination et une documentation sans faille .
Un juste choix de l'utilisation du PC, la connaissance permet de changer d'orientation en quelques clics, quelques services à réactiver.
Mon pseudo Liberty n'est pas tombé d'un saule ...
Interdit moi quoi que ce soit et je me ferai le devoir de te démontrer que rien n'est impossible en informatique .
(à ma façon, je suis un enfoiré.... )
Je ne suis pas un hacker, si ce n'est au sens bidouilleur, je ne suis pas un saint non plus, à l'époque on ne s'attaquait qu'entre amis .
Juste pour pouvoir se défier en comité restreint.
Histoire de s'apprendre l'un l'autre de nouvelles techniques .
Je sais tout de même respecter le travail des autres même si j'adore, prouver aux prétentieux que rien n'est inattaquable .
(quoi que j'en ai laissé courir, sur leurs employés ils auraient gueulé, c'est leur arrogance qui est 2 ème nature, ils défient des lois naturelles sans les maîtriser )
Avec l'âge ça se perd, et je ne me cantonne juste qu'au légal.
J'avoue bien rigoler des numéros de licence, les types sont pas au point, toujours un train de retard ...
Les seuls qui font mieux on un service en ligne permanente, mais derrière un pare feu correct, c'est comme si nous étions hors ligne .(hérésie oui)
De solutions il n'y a pas à pas énorme, je te les donner par e-mail privé ...
Demande du fric pour cela c'est la moindre des choses !
Nuls de nuls il sont au niveau des licences.....
Ecrit par : Liberty | 26/11/2008
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Liberty-Enfoiré,
Merci, de me rassurer. Il suffit souvent d'avoir un bon professeur pour abaisser le niveau des difficultés. Belle fourchette 450-25000 euros. C'est ce que j'appelle de bonnes marges de sécurité. Je viens de voir une émission sur les hackers. Mon Grand Maître du virtuel est déjà dépassé.
Merci pour l'invitation.
Ecrit par : L'enfoiré | 27/11/2008
Hormis le hardware indispensable si je conseille une chose à tous c'est d'investir dans des alimentations ultra-silencieuses.
C'est parfois assez cher mais un PC silencieux ça n'a pas de prix ;-)
Pourquoi une telle fourchette de prix ?
Un PC se construit pour des types d'utilisation, il faut savoir être regardant sur la gourmandise de l'OS et des softwares utilisés, puis choisir le matériel idéal .
Inutile d'investir dans un PC de joueur si c'est juste pour faire de la bureautique ou du surf ...
Le hacking a de beaux jours devant lui, le développeur travaille en fonction d'un cahier des charges et d'éléments de sécurité connus, le hacker innove constamment en fonction du travail du développeur...
A moins que les équipes de développement puissent voyager dans l'avenir, ils auront toujours un wagon de retard ;-)
La guerre est perdue d'avance, celui qui gagne la guerre est celui qui ne la fais pas ou ne donne aucune raison d'avoir à la faire ...
Inutile de cracker Linux (par exemple)
Ecrit par : Liberty | 27/11/2008
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Écrit par : L'enfoiré | 03/12/2008
Article intéressant:
"La cybergénération prendra le pouvoir"
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/la-cybergeneration-prendra-le-63953
Écrit par : L'enfoiré | 28/10/2009
Facebook, on en parle aussi de manière controversée:
http://www.lesoir.be/la_vie_du_net/actunet/2010-03-09/mark-zuckerberg-et-la-genese-controversee-de-facebook-757749.shtml
Écrit par : L'enfoiré | 09/03/2010
On fête les 25 ans de .COM
http://www.lesoir.be/la_vie_du_net/actunet/2010-03-17/le-com-fete-ses-25-ans-759246.shtml
Écrit par : L'enfoiré | 17/03/2010
Internet IPV6 se prépare
http://geeko.lesoir.be/2011/06/08/test-grandeur-nature-pour-le-protocole-ipv6/
Écrit par : L'enfoiré | 09/06/2011
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